Honfleur et Samuel de Champlain #FrenchTrip

septembre 14, 2014

Honfleur, c'est comme quand on va dans le Vieux-Québec, à la différence que ça se trouve de l'autre côté de l'Atlantique. Les piétons dominent, il n'y a jamais de place pour se stationner, du monde partout et des groupes de Péruviens qui jouent de la flûte.

Nah… je blague! Honfleur, c'est aussi autre chose... comme la ville d'où est parti le conquérant, le colonisateur, le fondateur français Samuel de Champlain!

Cette ville, réputée pour ses toitures et murs d'ardoise, est un MUST pour deux raisons:
1. Ses 80 galeries, centres d'arts et ateliers d'artistes
2.  Ses innombrables faits historiques

Je ne suis pas là pour vous faire un cours d'histoire, mais quand j'ai connu ce petit coin de paradis  très normand terriblement lié à l’histoire de notre Québec chéri, je ne peux que vous le recommander, et  absolument!


Pour vous en dire un peu plus sur les faits historiques:

Samuel de Champlain est parti plusieurs fois du port de Honfleur pour ses expéditions au  «nouveau monde». Le port de cette ville était l’un des cinq principaux en France pendant plusieurs siècles. En peinture, Eugène Boudin, grand précurseur de l’impressionnisme, fut le maître de Claude Monet (ploguer ancien article). Tous deux peignirent les plus grandes scènes que l’ont connait de la Normandie.

Pour visiter, je vous conseille (avec approbation d’un Honfleurais):

Un resto:  $ L’Alcycone ou $$ Le Bréard
Un bar à tapas: La Taberna
Un musée (le plus petit au MONDE): Alphonse Allais
Un lieu historique: rue de la Ville (maisons des 12e et 13e siècles)
Un plat: les demoiselles honfleuraises (mini crevettes grises)
Un verre: l’Albatros (bar local de pêcheurs sexy)

Je vous laisse sur ces images pour vous mettre l'eau à la bouche!

Source: Église Sainte-Catherine
                                                                                                            Mariève XO

Mariève, collaboratrice du dimanche après-midi
à propos de l'auteur :
Mariève a le statut social « d’artiste ».  Avec modestie, elle vous dira qu’elle a « une production matérielle accrochable ». Entre la France et le Canada, elle court les expo, est membre d’une société d’alchimistes photographes à Paris et joue de la musique avec des gens très sympathiques. Le dimanche, elle partagera ses voyages et tout ce qui est branché dans le milieu artistique. Vous pouvez la suivre sur son site ou sur twitter (@MarievePelle)

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